- EAN13
- 9782921561501
- ISBN
- 978-2-921561-50-1
- Éditeur
- Écosociété
- Date de publication
- 24/02/2005
- Dimensions
- 18,5 x 11 x 1,9 cm
- Poids
- 204 g
- Fiches UNIMARC
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« À part les profits, seules les banques alimentaires et la pauvreté fracassent tous les records. En prime, sacralisation du marché, déréglementation, flexibilité, retrait de l'État, déficit zéro, disqualification de la justice sociale. L'"horreur économique" porte un nom : le néolibéralisme. » Extrait.
Dans L'imposture néolibérale, J.-Claude St-Onge démonte un à un les dogmes du néolibéralisme. Liberté ? Imposture ! À moins qu'on ne la résume à la propriété et à l'accumulation des richesses, apanage d'une minorité toujours plus puissante. Nouveauté ? Imposture ! Le néolibéralisme remplace les idées d'hier par celle d'avant-hier en les présentant comme celles de demain.
Sous prétexte que la société serait gouvernée par des lois naturelles - celles du marché - il faudrait s'incliner devant cette divinité qui distribuerait bonheur et malheur au hasard. À cet éloge de l'impuissance et de la résignation, l'auteur oppose l'idée d'une société fondée sur l'entraide, la participation, la répartition équitable des richesses, le droit à la vie et la liberté, cette dernière étant conçue comme la possibilité d'autodétermination et de réalisation de soi.
Un ouvrage loin du jargon des spécialistes, accessible à toute personne désireuse de rompre avec le fatalisme ambiant, et qui met en lumière la fragilité de l'édifice néolibéral.
Dans L'imposture néolibérale, J.-Claude St-Onge démonte un à un les dogmes du néolibéralisme. Liberté ? Imposture ! À moins qu'on ne la résume à la propriété et à l'accumulation des richesses, apanage d'une minorité toujours plus puissante. Nouveauté ? Imposture ! Le néolibéralisme remplace les idées d'hier par celle d'avant-hier en les présentant comme celles de demain.
Sous prétexte que la société serait gouvernée par des lois naturelles - celles du marché - il faudrait s'incliner devant cette divinité qui distribuerait bonheur et malheur au hasard. À cet éloge de l'impuissance et de la résignation, l'auteur oppose l'idée d'une société fondée sur l'entraide, la participation, la répartition équitable des richesses, le droit à la vie et la liberté, cette dernière étant conçue comme la possibilité d'autodétermination et de réalisation de soi.
Un ouvrage loin du jargon des spécialistes, accessible à toute personne désireuse de rompre avec le fatalisme ambiant, et qui met en lumière la fragilité de l'édifice néolibéral.
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