- EAN13
- 9782262017781
- ISBN
- 978-2-262-01778-1
- Éditeur
- Perrin
- Date de publication
- 19/09/2002
- Collection
- Pour l'histoire
- Nombre de pages
- 320
- Dimensions
- 23 x 14,2 x 2,7 cm
- Poids
- 450 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 394.12
- Fiches UNIMARC
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On ne peut vivre sans boire. Cet acte fondamental de notre existence est-il différent au Moyen Age et de nos jours ?
L'étude des différentes boissons permet de constater que, si le pauvre doit se contenter de l'eau (comment obtenir de l'eau potable ?), si le jeune enfant a besoin de lait (allaitement maternel ou nourrice ?) et si, à l'exception de certaines régions, la bière et le cidre sont consommés à défaut de vin, ce dernier constitue la boisson par excellence de l'homme médiéval.
Mais quel vin ? Au vin blanc d'abord préféré succède le rouge, cependant que se dessine une offensive des vins forts. Ce vin est bu dans l'année, car on ne sait pas le conserver. Par ailleurs, sa consommation se répand dans les classes populaires. Et l'on en boit beaucoup au Moyen Age.
Le vin constitue également un élément fondamental de la sociabilité. Il convient de ne pas boire n'importe comment, d'observer certaines règles. Toute une organisation est mise en place dans la haute société. Mais le vin peut être cause de rupture dans la mesure où l'ivrognerie entraîne des querelles.
Et il permet d'effacer le goût du poison !
Jean Verdon, ancien professeur d'histoire médiévale à l'université de Limoges, a écrit de nombreux livres. Chez Perrin, entre autres, Les Françaises pendant la guerre de Cent Ans (ouvrage couronné par l'Académie française), La Nuit au Moyen Age, Le Plaisir au Moyen Age, Voyager au Moyen Age, qui ont donné lieu à de nombreuses traductions.
L'étude des différentes boissons permet de constater que, si le pauvre doit se contenter de l'eau (comment obtenir de l'eau potable ?), si le jeune enfant a besoin de lait (allaitement maternel ou nourrice ?) et si, à l'exception de certaines régions, la bière et le cidre sont consommés à défaut de vin, ce dernier constitue la boisson par excellence de l'homme médiéval.
Mais quel vin ? Au vin blanc d'abord préféré succède le rouge, cependant que se dessine une offensive des vins forts. Ce vin est bu dans l'année, car on ne sait pas le conserver. Par ailleurs, sa consommation se répand dans les classes populaires. Et l'on en boit beaucoup au Moyen Age.
Le vin constitue également un élément fondamental de la sociabilité. Il convient de ne pas boire n'importe comment, d'observer certaines règles. Toute une organisation est mise en place dans la haute société. Mais le vin peut être cause de rupture dans la mesure où l'ivrognerie entraîne des querelles.
Et il permet d'effacer le goût du poison !
Jean Verdon, ancien professeur d'histoire médiévale à l'université de Limoges, a écrit de nombreux livres. Chez Perrin, entre autres, Les Françaises pendant la guerre de Cent Ans (ouvrage couronné par l'Académie française), La Nuit au Moyen Age, Le Plaisir au Moyen Age, Voyager au Moyen Age, qui ont donné lieu à de nombreuses traductions.
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