- EAN13
- 9782072689499
- ISBN
- 978-2-07-268949-9
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 08/02/2018
- Collection
- Du monde entier
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 18,5 x 18,5 x 1,4 cm
- Poids
- 168 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- danois
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Quelle n’est pas ma joie
De Jens Christian Grøndahl
Traduit par Alain Gnaedig
Gallimard
Du monde entier
Offres
«Voilà, ton mari est mort lui aussi, Anna. Ton mari, notre mari. J’aurais aimé qu’il repose à côté de toi.» Ellinor a soixante-dix ans. Elle vient de perdre Georg, son mari, et elle a rapidement décidé de vendre leur maison, dans la banlieue chic de Copenhague, afin de retourner vivre à Vesterbro, le quartier populaire de son enfance. Et Ellinor va se raconter. Elle s’adresse à Anna, sa meilleure amie, qui
était la première femme de Georg. Et la maîtresse de Henning, son mari à elle. Anna et Henning ont été emportés par une avalanche dans les Dolomites, pendant des vacances que les deux couples passaient ensemble, au cours des années soixante. Ce roman d’une vie vécue longuement à la place d’une autre mêle les surprises, la rancœur, l’agressivité et la jalousie. Et les regrets : «Nous, qui ne sommes plus aimés, nous devons choisir entre la vengeance et la compréhension», écrit ainsi Ellinor. Ce livre est une apostrophe, à la fois exercice de deuil, de mémoire et de réflexion, où le «tu» donne une immédiateté nouvelle à la palette du grand écrivain qu’est Jens Christian Grøndahl.
Ce livre est une apostrophe, à la fois exercice de deuil, de mémoire et de réflexion, où le «tu» donne une immédiateté nouvelle à la palette du grand écrivain qu’est Jens Christian Grøndahl.
était la première femme de Georg. Et la maîtresse de Henning, son mari à elle. Anna et Henning ont été emportés par une avalanche dans les Dolomites, pendant des vacances que les deux couples passaient ensemble, au cours des années soixante. Ce roman d’une vie vécue longuement à la place d’une autre mêle les surprises, la rancœur, l’agressivité et la jalousie. Et les regrets : «Nous, qui ne sommes plus aimés, nous devons choisir entre la vengeance et la compréhension», écrit ainsi Ellinor. Ce livre est une apostrophe, à la fois exercice de deuil, de mémoire et de réflexion, où le «tu» donne une immédiateté nouvelle à la palette du grand écrivain qu’est Jens Christian Grøndahl.
Ce livre est une apostrophe, à la fois exercice de deuil, de mémoire et de réflexion, où le «tu» donne une immédiateté nouvelle à la palette du grand écrivain qu’est Jens Christian Grøndahl.
Commentaires des lecteurs
Une femme vieillissante dresse le bilan de sa vie de femme à son amie disparue depuis 40 ans. Difficile d’en dire plus tant la frontière entre l’amour et l’amitié est ténue entre ces deux femmes et leurs maris respectifs... Après ...
Lire la suite