- EAN13
- 9791037028211
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 11/10/2011
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Hermann 45,00
Traduit de l'anglais par YVES MEINARD. Paru aux États-Unis en 2008 aux
EDITIONS PRINCETON UNIVERSITY PRESS. Première traduction française. Faut-il
sacrifier la vérité à la démocratie ? S'il est vrai que certaines lois sont
meilleures que d'autres, c'est à celles-là que nous voulons être soumis. Mais
il est dès lors tentant, la majorité ne prenant pas toujours les bonnes
décisions, de ne confier le pouvoir qu'aux plus compétents. Le gouvernement
d'une élite savante soumet toutefois le peuple à une autorité illégitime, car
le savoir ne confère aucun droit à commander autrui. L'épistocratie, qui
réserve le pouvoir aux seuls experts, est inacceptable. Dans cette
contribution majeure à la théorie démocratique contemporaine, David Estlund
montre comment concilier la recherche de lois justes et le respect de
l'égalité morale des citoyens. Il ouvre ainsi une nouvelle perspective
philosophique pour penser l'autorité de la démocratie. Entre le souci de la
vérité et le pouvoir au peuple, il n'est pas sûr que nous devions choisir.
EDITIONS PRINCETON UNIVERSITY PRESS. Première traduction française. Faut-il
sacrifier la vérité à la démocratie ? S'il est vrai que certaines lois sont
meilleures que d'autres, c'est à celles-là que nous voulons être soumis. Mais
il est dès lors tentant, la majorité ne prenant pas toujours les bonnes
décisions, de ne confier le pouvoir qu'aux plus compétents. Le gouvernement
d'une élite savante soumet toutefois le peuple à une autorité illégitime, car
le savoir ne confère aucun droit à commander autrui. L'épistocratie, qui
réserve le pouvoir aux seuls experts, est inacceptable. Dans cette
contribution majeure à la théorie démocratique contemporaine, David Estlund
montre comment concilier la recherche de lois justes et le respect de
l'égalité morale des citoyens. Il ouvre ainsi une nouvelle perspective
philosophique pour penser l'autorité de la démocratie. Entre le souci de la
vérité et le pouvoir au peuple, il n'est pas sûr que nous devions choisir.
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