- EAN13
- 9782204128711
- Éditeur
- Cerf
- Date de publication
- 07/03/2019
- Collection
- Société
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Cerf 22,00
1994. Le génocide des Tutsi par les Hutu ensanglante le Rwanda.
1996. La France se dote de la compétence universelle pour juger les suspects hutu qu’elle viendrait à arrêter.
2011. Fabrice Epstein est commis d’office conseil de Pascal Simbikangwa, qui deviendra le premier accusé devant les tribunaux français.
Le voici qui relate ici les coulisses de ce procès. Il pose toutes les
questions qu’interdit habituellement la représentation transcendante que se
fait d’elle-même la justice internationale.
L’accusé a-t-il eu le droit d’accéder à son dossier ? Les témoins étaient-ils
tous crédibles ? Les magistrats ont-ils mené les débats de façon impartiale ?
La défense avait-elle les mêmes droits que l’accusation ? La cour a-t-elle eu
la possibilité de reconstituer les faits sur les lieux du crime ? Bref : la
France a-t-elle organisé un procès équitable ou s’agissait-il, au terme de la
procédure, de condamner Pascal Simbikangwa pour l’exemple ? Et si oui, en quoi
et de quoi un tel jugement serait-il exemplaire ?
En disant la vérité, Fabrice Epstein oeuvre pour l’équité. Ce témoignage fort
et dérangeant d’un jeune avocat descendant de victimes de la Shoah est une
pièce à verser au dossier de l’histoire. Car on ne saurait combattre le mal
radical par des faux-semblants.
Une exhortation courageuse à la lucidité.
Né en 1981, ancien secrétaire de la conférence des avocats du barreau de
Paris, Fabrice Epstein compte parmi les défenseurs du droit les plus
prometteurs de sa génération.
1996. La France se dote de la compétence universelle pour juger les suspects hutu qu’elle viendrait à arrêter.
2011. Fabrice Epstein est commis d’office conseil de Pascal Simbikangwa, qui deviendra le premier accusé devant les tribunaux français.
Le voici qui relate ici les coulisses de ce procès. Il pose toutes les
questions qu’interdit habituellement la représentation transcendante que se
fait d’elle-même la justice internationale.
L’accusé a-t-il eu le droit d’accéder à son dossier ? Les témoins étaient-ils
tous crédibles ? Les magistrats ont-ils mené les débats de façon impartiale ?
La défense avait-elle les mêmes droits que l’accusation ? La cour a-t-elle eu
la possibilité de reconstituer les faits sur les lieux du crime ? Bref : la
France a-t-elle organisé un procès équitable ou s’agissait-il, au terme de la
procédure, de condamner Pascal Simbikangwa pour l’exemple ? Et si oui, en quoi
et de quoi un tel jugement serait-il exemplaire ?
En disant la vérité, Fabrice Epstein oeuvre pour l’équité. Ce témoignage fort
et dérangeant d’un jeune avocat descendant de victimes de la Shoah est une
pièce à verser au dossier de l’histoire. Car on ne saurait combattre le mal
radical par des faux-semblants.
Une exhortation courageuse à la lucidité.
Né en 1981, ancien secrétaire de la conférence des avocats du barreau de
Paris, Fabrice Epstein compte parmi les défenseurs du droit les plus
prometteurs de sa génération.
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