Maintenant, le règne des banquiers va commencer, les luttes de classes en France et ailleurs
EAN13
9782359250275
ISBN
978-2-35925-027-5
Éditeur
Empêcheurs de penser en rond
Date de publication
Collection
Les Empêcheurs de penser en rond
Nombre de pages
252
Dimensions
19,2 x 12,6 x 2,1 cm
Poids
247 g
Langue
français
Code dewey
337.09
Fiches UNIMARC
S'identifier

Maintenant, le règne des banquiers va commencer

les luttes de classes en France et ailleurs

De ,

Empêcheurs de penser en rond

Les Empêcheurs de penser en rond

Offres

La crise n'est-elle pas ce moment unique de faire le bilan de notre domination séculaire sur le monde ? Et de réétudier les classes sociales, leurs alliances comme leurs désaccords, au nivreau transnational en pariant sur l'intelligence politique retrouvée ?
C'est à un véritable aggiornamento des idées reçues que les auteurs nous invitent. Et d'abord sur la crise : selon eux, la dette des États ne sera jamais remboursée... L'avenir est ouvert aux règlements de comptes financiers entre nations. Nous apparaîtront aux yeux du monde non occidental (que nous considérons besogneux, peuplé d'irresponsables de la concurrence ou de la pollution) comme d'incroyables malhonnêtes. N'est-ce pas le moment de faire le bilan de notre domination séculaire sur le monde ? Et d'étudier les classes sociales, les alliances et les adaptations incroyablement rapides des bourgeoisies à l'échelle continentale, ainsi que les désaccords entre ouvriers au sujet des délocalisés ou des transfuges de l'immigration, les classes moyennes restant entre les deux, en position d'arbitre...Les effets du non remboursement et l'interprétation que les autres peuples en donneront, aggraveront probablement une incompréhension réciproque. Les occasions de s'expliquer se sont réduites : la mondialisation ajoute à l'engourdissement des jugements, un cloisonnement figeant l'échange des idées au profit de la libre circulation financière et celle des marchandises. Le refus de connaître nos voisins, proches ou lointains, nous incite à leur donner des recommandations confondantes : " Privez-vous ", " Économisez, épargnez " ! Comment peuvent-ils prendre ça ? Une plaisanterie ? Une insulte ? Un forfait supplémentaire de notre part ?
S'identifier pour envoyer des commentaires.